Module de contrôle des prérequis et consolidation.

  Automne par René-Guy Cadou

Odeur des pluies de mon enfance
Derniers soleils de la saison !
À sept ans comme il faisait bon,
Après d'ennuyeuses vacances,
Se retrouver à la maison !

La vieille classe de mon père,
Pleine de guêpes écrasées
Sentait l'encre, le bois, la craie
Et ces merveilleuses poussières
Amassées par tout un été.

Ô temps charmant des brumes douces,
Des gibiers, des longs vols d'oiseaux,
Le vent souffle sous le préau,
Mais je tiens entre paume et pouce
Une rouge pomme à couteau.

(René-Guy Cadou, "Les amis d’enfance " ; in Poésie, la vie entière, Paris, Seghers, 1976)

Ce texte contient quelques petits "trucs" sympathiques. Avec ce petit air de saison et de naturel, il nous rappelle que la vie ne réside pas seulement dans l'actualité infernale de notre civilisation, mais aussi dans les choses simples du quotidien.

Questions

1.  Dans ce poème, le poète se souvient d’un moment important de sa vie : Quel est ce moment ? Pourquoi ce moment est – il important pour lui ?


2. Les odeurs d’automne sont bien présentes dans ce poème : Quels sont ses odeurs ? Pourquoi en parle – t – il ?


3. En nous rapportant ses souvenirs, le poète emploie des procédés d’écriture : relevez – en deux et précisez à chaque fois l’effet.

 

Sujet : Dans les grands évènements de notre vie, on prend des photos, on enregistre des vidéos. Pensez - vous que ces photos et vidéos souvenirs aient de l'importance dans la vie des personnes ? Développez en vous appuyant sur des arguments et des exemples. 



I. Les formes impersonnelles.

Relevez chaque verbe à le forme impersonnelle. Précisez entre parenthèses s'il est toujours imperson­nel ou s'il l'est occasionnellement.

1. Il ne fallait pas venir. - 2. Après examen de votre situation, il apparaît que tout est en règle. - 3. Tout va bien, semble-t-il. - 4. La semaine dernière, il a neigé sans arrêt. - 5. Je sais bien qu'il m'arrive parfois de me tromper. - 6. Nous avons remarqué qu'il pleut très souvent dans cette région. - 7. Il passe peu de voitures dans mon quartier. - 8. Il passe un examen demain.

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II. Conjugaisons des verbes à des temps simples ou composés.

 Conjuguez le verbe à un temps composé s’il est conjugué à un temps simple et vice-versa. Précisez à chaque fois le temps employé entre parenthèses.

Les temps simples

Les temps composés

 

Il écrit ses mémoires

Il se souvient

 

 

………………………………………

………………………………………

 

…………………………………………..

…………………………………………..

 

Il avait écrit ses mémoires.

Il s’était souvenu.

 

 

Il écrivit ses mémoires.

Il se souvint.

 

……………………………………………

……………………………………………

 

 

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………………………………………………..

 

Il aura écrit ses mémoires.

Il se sera souvenu.

 

 

Il écrirait ses mémoires.

Il se souviendrait.

 

 

……………………………………….

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Quelles différences y a – t – il entre les temps simples et les temps composés au niveau de la morphologie et de l’emploi. ? ………………………………………………………………………………………………………

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Réemploi.

Repérez à quel temps simple chaque verbe est conjugué. Puis conjuguez ce verbe au temps composé correspondant de façon à exprimer l’aspect accompli.

1.  Je débarrasse la table. 2. À huit heures, elle rangeait ses affaires.  3. Il relit son texte. 4. Sébastien comprit vite le problème. - 5. En moins d'une minute,  nous rangeâmes toute l’installation. - 6. À cette heure-là, mes parents rentreront.

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III. Temps et modes.

1. Mettez au temps et au mode voulus les verbes indiqués à l'infinitif.

a. Il m'a reconnu après que je I' (saluer)  ……………………………..

b. Bien qu'on (savoir) …………………..  qu'il ment, on est tenté de le croire.

c. Il me semble que vous vous  (tromper) ……………………………….

e. Il espère que nous  (venir) …………………………………………...

f. Je souhaite que ce (être) ……………  vrai.

g. Il semble qu'il  (pouvoir)  ………………………….  être indemnisé.

h. Il faut qu'il (répondre) ……………………………………...

i. Nous aurions tous voulu qu'il  (être) …………………………………..  muet.

2. Dans le texte suivant, concernant un fait de l’actualité, mettez à la forme voulue les dix verbes indiqués à l'infinitif entre parenthèses.

Le gouvernement n'a pas retenu l'idée d'un procès, estimant que le prince  (être) ………… déjà suffisamment puni. - Il  (devoir) …………….  renoncer à tous ses titres - et qu'un procès  (pouvoir) ………….avoir des conséquences néfastes sur le plan politique. Cependant le gouvernement (affirmer) ………………. hier qu'il (faire) …………..la lumière sur toute l'affaire. Dans les divers partis, on  (préparer) …………….. activement le débat qui ... (avoir) lieu la semaine prochaine à la Chambre et que les journaux (contribuer) …………….. ..dans une large mesure à étoffer. Chacun ici s'(interroger) …………………… déjà sur l'issue de cette séance qui ... (promettre) d'être mouvementée.

IV. Synonymie / Antonymie :

Dites par lequel de ces synonymes on pourrait remplacer les noms soulignés : a. comportement  b. éventualité  c. fébrilité d. négoce  e.  pléthore.

1. On envisage la possibilité  d'une intervention armée dans le Sud du pays. - 2. Devant une telle attitude des autorités, on ne peut qu'arrêter les négociations. - 3. Évidemment, il est possible que la situation politique entraîne un ralentissement du commerce. - 4. Chacun attend les résultats des pourparlers avec nervosité.  - 5. Il y a surabondance de propositions pour éviter le conflit.

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Remplacez le verbe faire, qui est polysémique, par des verbes précis. Écrivez une phrase avec chaque expression obtenue.

1. faire un cadeau - 2. faire un feu - 3. faire une farce - 4. faire une faute - 5. faire une fête 6. faire un mur - 7. faire un projet - 8. faire un discours.  ………………………………………………………………………………………

 

Remplacez l'adjectif ou participe de registre cou­rant par un de ces synonymes de registre soutenu : divergentes, pécuniaires, chimérique, aléatoire, espiègle, prolixe, indubitable, laconique, crucial, draconien. Écrivez une phrase avec chaque expression obtenue.

1. une réussite certaine - 2. des opinions oppo­sées - 3. un enfant farceur 4. des difficultés financières - 5. une orientation hasardeuse - 6. un interlocuteur bavard - 7. un moment décisif - 8. un projet irréalisable - 9. des déci­sions sévères  10. une phrase brève.

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V. Les rapports logiques.

 Explicitez  le rapport logique en ajoutant l'articulateur qui convient.

1. Avoir une voiture, c'est bien, …. ………  cela pollue !  ………………………………………………………….

2. ………… elle coûte cher à l'achat, ………… elle revient cher, ………………..  je n'aime pas cette marque.

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3. …. ……elle soit chère, certains clients l'achète. ……………………………………………………………..

4. Je ne peux pas me permettre une telle folie ….. ……………………    gagner à la loterie ! ………………………

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5. Elle est rapide ………………………………..    l'éclair.  ………………………………………………………….

6. Il joue ………………   il croit en sa bonne étoile.

7. Il a hérité. ……………....   cela lui arrive de gagner.  …………………………………………………………….

8. Je te parle de cela ……………...  nous tentions notre chance et puissions acheter cette voiture ! ……………….

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Placez à chaque fois dans les pointillés la locution conjonctive qui convient pour exprimer le rapport logique.


Leur niveau est excellent…………………..  il s’intéressent aux cours.                …………………………………..

Il a travaillé ………………  il a réussi .                                                                 ………………………………….

Il ne peut réussir ……….on ne lui accorde l’aide nécessaire.                                ………………………………….

Elle aide ses élèves…une mère assiste ses enfants.                                                …………………………………..

Il les encourage à acheter Larousse de poche…..ils améliorent leur vocabulaire. …………………………………..

 

VI. Versification.

Voici le dernier tercé du poème proposé pour l'examen du bac contrôle 2008 et voici la dernière question de l'étude de texte :

Les jours se sont enfuis, d'un vol mystérieux,

 

Mais toujours la jeunesse éclatante et vermeille

 

Fleurit dans ton sourire et brille dans tes yeux.   

 

                                             ( Théodore de Banville Roses de Noël, 1845 )

 

Combien de syllabes ( ou pieds ) y a – t – il dans chaque vers ? Quel est donc le mètre ? Placez la césure, les accents, les coupes. Quel rythme avons – nous ?

 

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VI. Procédés d’écriture.

 

Dans les deux derniers vers, quelle image le poète conserve – t - il de sa mère ?

Relevez et identifiez un procédé d'écriture mettant en relief cette image.

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Quel est le procédé d'écriture employé dans chacun des énoncés suivants ? Expliquez l'emploi et l'effet de chaque procédé.


1. Un souvenir l'égaie, un souvenir  l'attriste.                                    ………………………………………….

2. Le souvenir, ce miroir qui nous renvoie notre passé.                               …. ………………………………………

3. C'était son souvenir le plus précieux, le plus cher.                                   …………………………………………..

4. Ces évènements passés gravés dans notre mémoire nous reviennent.     …………………………………………..

5. Sa tête était pleine de souvenirs.                                                               …………………………………………..

6. Des souvenirs gais, enivrants, extatiques                                                  ………………………………………….

7. Son souvenir est heureux, heureuse est sa mémoire.                                ………………………………………….

7. Son souvenir est heureux, heureuse est sa mémoire. ( Chiasme )

 

Document :

 

Les figures de style

 

Allégorie : Idée générale ou abstraite, mise en scène sous une représentation concrète ou une métaphore animée. L’allégorie est souvent indiquée par la majuscule. Elle représente une idée générale ou abstraite de façon concrète.

La Mort est généralement représentée par une faucheuse.

« Le temps, vieillard souffrant de multiples entorses / Peut gémir » (Desnos, « Demain », État de veille)

Allitération : répétition de consonnes. Ces serpents qui sifflent sur nos têtes.

Anaphore : Elle désigne la répétition d’un mot ou d’une expression en tête de phrase, de proposition ou de vers.

« Rome, l’unique objet de mon ressentiment !

Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant !

Rome, qui t’a vu naître et que ton cœur adore ! Rome enfin que je hais parce qu’elle t’honore ! » (Corneille)

Antiphrase : Elle suggère par ironie le contraire de ce qui est explicitement dit. L’antithèse consiste à dire le contraire de ce que l’on pense, mais en faisant comprendre qu’on pense le contraire de ce que l’on dit.

Vous avez fait du beau travail peut signifier que ce travail a été mal fait.

« Tu as l’honneur d’être l’esclave de nos seigneurs les blancs » (Voltaire, Candide)

Antithèse : Elle met deux antonymes en relation logique. L’effet produit est l’opposition vigoureuse de deux idées ou de deux termes, la mise en relief de deux expressions en les opposant : cette figure fait ressortir une contradiction par le rapprochement de deux expressions ou de deux pensées opposées :

La vie et la mort, l’ombre et la lumière

« Or du fond de la nuit, nous témoignons encore / De la splendeur du jour et de tous ses présents » (Desnos, « Demain », État de veille)

Vous croyez avoir la force et l’impunité, moi je crois avoir la vérité et l’innocence. (Pascal)

Apostrophe : Procédé oratoire qui consiste à interpeller le destinataire du discours. Elle regroupe le ou les mots par lesquels le locuteur interpelle le destinataire de l’énoncé :

« Que deviendrez-vous donc, ô hommes qui cherchez quelle est votre condition véritable par votre raison naturelle ? » (Pascal) ; « Ô ma France, Ô ma délaissées » (Aragon, Les Yeux d’Elsa)

Assonance : répétition de voyelles. Le jour coule toujours.

Chiasme : II croise des termes mis en opposition ou en parallèle (A-B/B-A) et renforce l’idée ainsi exprimée :

II faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger. Il y a de l’Urgo dans l’air, il y a de l’air dans Urgo. Bonnet blanc et blanc bonnet.

Comparaison : Procédé de style qui consiste à établir un rapport de ressemblance entre deux réalités. Ces deux termes sont nommés élément comparant et élément comparé et sont mis en relation par un outil grammatical / comparatif (comme, ainsi que, semblable à, pareil, ressembler...) :

Le soleil est semblable à de l’or. ► le mot « soleil » est le comparé ; le mot « or » est le comparant.

Ellipse : Effet d’intensité créé par le sous-entendu, par l’omission de termes qui peuvent cependant se deviner.

« Rien qu’un mot, la porte cède, / S’ouvre et tu sors, rien qu’un mot » (Aragon, La Diane française)► allusion à Gabriel Péri, torturé, mais qui ne parla pas.

Énallage : est l’échange d’un temps, d’un nombre ou d’une personne contre un autre temps, un autre nombre, une autre personne.

Vous ne me répondez pas ? Perfide, je te reconnais bien là.

Enumération, accumulation : série plus ou moins longue de termes appartenant à une même catégorie grammaticale (effet de profusion ou d’anarchie).

« Il parle, il s’anime, ses yeux brillent. » (Le Clézio)

Euphémisme : II établit une atténuation. Type particulier de périphrase visant à atténuer l’expression d’une réalité brutale ou blessante.

Je lui ai chatouillé les côtes. = Je l’ai assassiné. Une très longue maladie = le cancer.

« Il est parti, il a fini. »(Guillevic, « Bretagne », Exécutoire)

Gradation : Elle compose une succession de mots ou d’idées de sens proche, rangés dans un ordre croissant d’intensité ; coordination ou juxtaposition de plusieurs termes, de force croissante ou décroissante :

Va, cours, vole et nous venge ! (Corneille)

Hypallage : figure qui attribue à un objet l’acte ou l’idée convenant à l’objet voisin (= déplacement de la qualité exprimée par un mot sur un autre mot). Autrement dit, l’hypallage est l’opération par laquelle on donne à un mot ou un groupe de mots une place grammaticale qui n’est pas sa place logique : on paraît leur attribuer ce qui appartient à d’autres mots de cette phrase, sans pourtant qu’il soit possible de se tromper sur le sens.

Son discours menace d’être long. ; Je suis d’un pas rêveur le sentier solitaire ; enfoncer son chapeau dans sa tête (pour "sa tête dans son chapeau") ; « Je suis le triste oiseau de la nuit solitaire. » (La Roque)

Hyperbole : Elle regroupe toutes les exagérations : Verser un torrent de larmes ; Je suis mort de fatigue.

Litote : Elle dit moins pour faire entendre plus. Dire peu pour suggérer beaucoup (souvent employée dans une phrase négative)

Ce n’est pas mal. = C’est bien ; Je n’étais pas mécontent de … = j’étais très satisfait.

Métaphore : La métaphore est une figure d’analogie. C’est une image qui consiste à identifier deux termes par le biais d’une comparaison dont on a supprimé le lien grammatical. La métaphore n’explicite pas les points communs aux deux réalités cachées. II faut donc rechercher les raisons du rapprochement, en particulier dans les connotations. Comparé et comparant sont identifiés l’un à l’autre ; parfois le comparé disparaît complètement :

Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe... ► « L’or du soir » est le comparant ; Victor Hugo désigne le couchant sans le nommer.

« Lance ta lettre obus de ton artillerie » (Apollinaire) ► La lettre est comparée à une arme

La métaphore filée est une métaphore reprise au long d’une phrase ou d’un texte :

« Des troupeaux d’autobus mugissants près de moi roulent » (Apollinaire)

Métonymie : Elle remplace un terme A par un terme B désignant un objet régulièrement associé à A dans la vie courante. Deux réalités sont ainsi liées par un rapport de contiguïté, de proximité, de dépendance (contenant / contenu ; cause / effet ; origine / objet).

Le mot sceptre est souvent employé pour désigner le pouvoir royal; un bleu pour désigner un vêtement de travail ; le bureau pour désigner le lieu de travail.

« Paris a froid, Paris a faim » (Eluard, « Courage », Au Rendez-vous allemand) ► Paris désigne les habitants de Paris.

Lire un Balzac = lire un livre de Balzac

Oxymore : Rapprochement de deux termes dont le sens est apparemment inconciliable. Cas particulier de l’antithèse, dont les deux termes opposés sont collés.  Clair-obscur, aigre-doux. La Guerre : « une boucherie héroïque ». (Voltaire)

Parallélisme : syntaxe semblable de deux énoncés (rythme la phrase, souligne l’antithèse). Emploi répété d’une même structure de phrase. Effet d’insistance, de litanie…

« Un homme est mort qui n’avait pour défense […] / Un homme est mort qui continue la lutte » (Paul Éluard, Au Rendez-vous allemand)

Paronomase : jeu sur des mots qui se ressemblent phonétiquement ; rapprochement de mots qui ne se distinguent que par un son, ou qui, plus largement, possèdent une parenté phonique - dont le son est à peu près similaire - mais dont le sens est différent.

« qui vole un œuf vole un bœuf. »

« Il pleure dans mon cœur / Comme il pleut sur la ville » (Verlaine)

Périphrase : Elle remplace un terme par une expression plus développée, de même sens, qui le définit. Effet de mise en valeur ou d’ironie.

les hôtes de ces bois pour parler des animaux; la cité phocéenne pour désigner Marseille; la marionnette au long nez pour Pinocchio. Une périphrase rabâchée peut s’user; elle devient un cliché.

Personnification : Elle attribue à une chose ou à un être non humain des sentiments ou des comportements humains : La forêt gémit sous le vent.

Synecdoque : Deux réalités sont liées par une relation d’inclusion, d’englobement (la partie pour le tout / le tout pour la partie ; la matière pour l’objet ; le genre pour l’espèce ; le singulier pour le pluriel).

« ôter le pain de la bouche » ► Le pain = la nourriture

Une voile = un bateau

Question oratoire : Elle est de forme interrogative mais la réponse est donnée dans la question par le locuteur lui-même : Qui dispense la réputation ? qui donne !e respect et la vénération aux personnes sinon cette faculté imaginante ? (Pascal)

 

Définitions + Exercices sur les figures de style.


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